21 Avr Qualité de peau
Certains aliments agissent comme des thérapies ciblées sur le cerveau et influençant nos humeurs. Et si la joie de vivre commençait dans l’assiette ?
Et si c’était vrai ? Ce dicton qui nous dit que bien manger, c’est le début du bonheur. Avant de vous donner notre point de vue, il est important de souligner l’importance du plaisir de manger.
L’alimentation remonte le moral. Et, même si le sentiment de bonheur dépend de bien d’autres paramètres que le seul contenu de notre assiette, il est désormais reconnu que certaines substances contenues dans les aliments ont un effet « antidépresseur » et tendent à nous rendre plus heureux. Attention à ne pas les confondre avec les aliments gras et sucrés qui sont eux « réconfortants » mais de manière fugace et psychologique.
Pour que le pouvoir de ces « super » aliments fonctionnent, il faut les consommer régulièrement, tout au long de l’année en suivant les saisons pour qu’ils puissent influencer la synthèse des neurotransmetteurs impliqués dans la bonne humeur.
Au printemps, il faut constituer ses réserves. En cette saison, la question n’est pas de compenser mais bien de profiter du meilleur et de faire des réserves. La tomate est par exemple un « super » aliment. Désaltérante et reminéralisante mais surtout riche en lycopène, un antioxydant à l’origine de la couleur rouge, susceptible de réduire les symptômes de la dépression, elle reforme également du sélénium : un oligoélément important dans la prévention du stress et des troubles de l’humeur.
Si vous optez pour la préparation d’une salade, essayez « la ricotta » contenant du tryptophane, un acide aminé précurseur de la sérotonine (le neurotransmetteur du bien-être) !